Le projet de couverture du premier tome e la saga Les dogues noirs.
L’ambition est de raconter un siècle d’histoire commune entre l’Europe et l’Afrique à travers les tirailleurs sénégalais.
Six tomes sont prévus, mis en images par des dessinateurs différents à chaque tome.
Le 1er tome sortira au dernier trimestre 2018 chez L’harmattan BD.
Projet de couverture sans texte.
Projet de couverture avec texte.
Projet de couverture sans texte en noir et blanc.
Draft projet de couverture.
Par Mass
Je vous fais découvrir la première planche du projet, complétement aboutie : story-bord, crayonné, encrage et coloriage.
L’EVALA ! Rite initiatique du pays kabyé (Togo).
Des jeunes de 18 ans, s’affrontent dans une lutte à mains nues.
Les Dogues noirs : work in progress…
Le projet “Les Dogues noirs” reprend de plus belle avec la phase d’aboutissement des premières planches crayonnées avant l’encrage. Ici le crayonné de la planche 1 encours d’aboutissement.
Le crayonné encours de réalisation des planche 1.
Les crayonnés encours de réalisation des planches 9, 10 et 11. le projet avance petit à petit.
SYNOPSIS
Août 1914. La guerre s’annonce en Europe. L’armée française, en manque d’effectifs recrute dans ses colonies. Tout comme beaucoup d’autres jeunes africains, Bakary d’engage en tant que tirailleur. Ils quitte son village du Dahomey pour un camp de formation où il fait la rencontre d’autres tirailleurs dont ils se lient d’amitié. Yoro, « le traducteur » qui comprend tout de travers, Bamba, « l’obsédé » qui n’a pas d’autres sujets de conversation que les femmes, Cheick «la bouffe » à qui il ne manque jamais un bout de pain dans le paquetage, Charles, le « patriote » originaire du Gabon et le Sergent Gamelon, colon qui leur mène la vie dure. Après une formation militaire de base, la troupe part en guerre en envahissant le territoire ennemi : le Togo voisin, à l’époque colonie allemande. Les combats sont rudes mais brefs : ils durent une dizaine de jours. Puis c’est le départ pour le Cameroun par bateau et le débarquement à Douala.
Là aussi, c’est une succession de combats contre des troupes allemandes fort aguerries. La guerre se terminera par la capitulation à Mora, au nord-Kamerun des dernières troupes allemandes. Bakary aura perdu des amis et, surtout aura fait l’expérience du feu. Il aura, en particulier été obligé de tuer son ami, son cousin, Babacar, tout juste né de l’autre côté du fleuve et donc du côté allemand.
Baptême du feu sanglant pour ce jeune homme, à peine sorti de l’enfance….
